2020

Publications en 2020

Dans ce dossier

@NOVIMARK
Ce projet visait à déterminer les bases moléculaires de la virulence du virus SHV chez la truite arc-en-ciel. L’ensemble de ces travaux vient d’être publié dans deux articles dans la revue Frontiers in Microbiology.
@INRAE  2017-0099 Bassin d'élevage de poisson en mer
Contrairement aux mammifères et aux oiseaux chez lesquels le sexe est déterminé à la conception par des chromosomes sexuels (X et Y étant les plus connus), il est fréquent chez les poissons et les reptiles qu’il soit déterminé, au moins en partie, par la température de l’eau à une période clé du développement. C’est le cas chez le bar, mais, de façon surprenante, la même température peut donner des mâles ou des femelles selon le moment du développement où elle est appliquée. C’est ce que montre une étude conjointe entre l’unité Génétique Animale et Biologie Intégrative (GABI, INRAE, AgroParisTech, Université Paris-Saclay) et le laboratoire MARine Biodiversity, Exploitation and Conservation (MARBEC, IRD, Ifremer, Université de Montpellier, CNRS), parue le 4 novembre 2020 dans la revue Ecology and Evolution.
@Jean Millet INRAE
Dans un article de synthèse paru dans la revue FEMS Microbiology Reviews, les équipes de l'unité de Virologie et Immunologie Moléculaires (VIM, INRAE/UVSQ/UPSaclay, Jouy-en-Josas) et de l’École Vétérinaire de Cornell University présentent la diversité des interactions entre les coronavirus et leurs récepteurs, notamment à travers la protéine virale spike.
@ Ladislav Simo
L’UMR BIPAR (INRAE-EnvA-Anses) du Laboratoire de santé animale vient de publier dans la revue Scientific Reports du groupe Nature un travail exceptionnel sur la description de nouvelles connections neuronales cholinergiques entre le système nerveux central et les glandes salivaires chez deux tiques du genre Ixodes responsables de la maladie de Lyme.
@ PeterPunk Fotolia
Face à l’inflammation chronique caractéristique de l’obésité, le placenta semble s’adapter en diminuant la production de cytokines pro-inflammatoires telles que l’IL-6 et la leptine associée à une réduction de l’infiltration macrophagique et leucocytaire.
@ P. Tixador (unité VIM)
Les prions de mammifères sont des pathogènes neurotoxiques formés d’agrégats d’une protéine de l’hôte anormalement repliée, la protéine prion ou PrP. Chez l’homme et les espèces de rente atteintes, différentes souches de prions sont recensées et peuvent coexister, en proportions variables, dans le cerveau. Les souches correspondent à différents conformères de la PrP anormale.
@Pixabay
Le cancer du sein est le type de cancer le plus répandu dans le monde et l'une des principales causes de décès chez les femmes. Une étude impliquant des chercheurs de l’Université Paris-Saclay, de l’Inserm et d’INRAE vient d’établir un lien entre le travail de nuit et l'augmentation du risque de cancer, suggérant que la perturbation du rythme circadien pourrait rendre les tumeurs plus agressives. Ces travaux sont publiés dans la revue Nature Communications mercredi 24 juin 2020.

Date de modification : 14 septembre 2023 | Date de création : 26 juin 2020 | Rédaction : SAPS - Edition P. Huan